Plus de la moitié des parents l’ignorent, et pourtant : le harcèlement scolaire est désormais pris en charge par les assureurs.
91% des Français estiment que l’assurance scolaire permet avant tout de couvrir des dégâts matériels, 86%, des frais médicaux pour blessure et 64% un vol de matériel. En revanche, seuls 47% savent qu’elle intègre aussi un accompagnement en cas de harcèlement scolaire. Or, le harcèlement scolaire est un véritable fléau qui impacte toujours plus de jeunes : 1 collégien ou lycéen sur 5 en est aujourd’hui victime en France***. Et plus la prise en charge de l’enfant est tardive, plus les conséquences sont graves.
Interrogés sur cette question, les parents attendent notamment des assurances scolaires un dispositif de prise en charge psychologique (74%), une assistance juridique (71%), une indemnisation des dommages (58%), de la prévention et davantage de sensibilisation (55%), ou encore une protection contre les atteintes à la réputation en ligne (50%).
« Encore aujourd’hui, l’assurance scolaire reste méconnue, ainsi que les garanties proposées. Et pourtant ! Et pourtant, il y a fort à parier que l’assurance scolaire sera obligatoire au moins une fois au cours de la scolarité d’un enfant. En outre, elle intègre des dispositifs et services d’accompagnement en cas d’harcèlement scolaire, et notamment de cyberviolences, qui affectent aujourd’hui un collégien ou lycéen sur cinq. Usurpation d’identité, attaques gratuites, utilisation de photos sans consentement, revenge porn… Face à la multiplication des violences, les assureurs proposent désormais des prises en charge dédiées dans le cadre de l’assurance scolaire. D’où l’importance de bien connaître cette protection du quotidien, et de procéder à un comparatif des contrats et des assureurs », explique Christophe Dandois, cofondateur de Leocare, la première néo-assurance multiservices – habitation, auto, moto et smartphone – 100 % mobile.
* Cette étude a été conduite auprès d’un échantillon de 1 000 personnes représentatif de la population française âgée de 18 à 65 ans (3 catégories : 18-34 ans, 35-49 ans, 50-65 ans). Les données ont été recueillies au moyen d’un questionnaire (10 questions) anonyme en ligne du 7 au 12 juin 2024